Une escalade militaire sans précédent entre l’Iran et Israël a fait 81 morts (78 en Iran, 3 en Israël) et 361 blessés (320 en Iran, 41 en Israël), plongeant le Moyen-Orient dans une crise majeure.
Le 13 juin, Israël a lancé l’opération « Rising Lion », ciblant des sites nucléaires iraniens, comme Natanz, et des bases militaires à Téhéran, Ispahan et Kermanshah. Ces frappes, visant à empêcher l’Iran de développer une arme nucléaire selon Benjamin Netanyahu, ont tué 78 personnes, dont des hauts responsables des Gardiens de la Révolution, comme Hossein Salami, et des scientifiques nucléaires, avec 320 blessés.
En riposte, l’Iran a déclenché l’opération « Honest Promise 3 », lançant des missiles balistiques et plus de 100 drones sur des cibles militaires et civiles israéliennes, notamment à Tel Aviv. Ces attaques ont causé 3 morts et 41 blessés, les systèmes de défense comme le Dôme de fer ayant limité les dégâts.
Sur le plan diplomatique, les négociations nucléaires entre l’Iran et les États-Unis à Oman sont suspendues. Donald Trump soutient Israël tout en appelant à un accord, tandis que l’ONU et l’AIEA exhortent à la désescalade pour éviter un conflit régional. L’Iran menace de frapper les bases américaines, britanniques et françaises en cas d’intervention étrangère.
Alors que les deux camps promettent de nouvelles actions, le risque d’une guerre régionale s’intensifie. Une solution diplomatique est urgente pour stopper cette spirale de violence.