À l’occasion de la célébration de la Tabaski, événement marquant de pardon et de solidarité, le président Bassirou Diomaye Faye a décidé de gracier 1 466 détenus à l’échelle nationale. Cette décision s’inscrit non seulement dans une tradition ancrée, mais aussi dans un souci d’humanité et de renouvellement social.
Ce geste présidentiel concerne notamment des personnes emprisonnées pour des délits mineurs, des détenus âgés, en mauvaise santé, ainsi que des mineurs. Tous ces individus partagent un profil qui permet d’envisager une réintégration sociale réussie.
Pour ceux qui bénéficient de cette mesure, la grâce présidentielle revêt une signification qui dépasse largement celle d’une simple libération. C’est la possibilité de retrouver leurs proches, de refermer un chapitre douloureux de leur vie, et de nourrir l’espoir d’une nouvelle existence. En ces temps de festivités où compassion et réconciliation sont mises en avant, la décision du chef de l’État a été chaleureusement accueillie par de nombreuses familles, heureuses de renouer avec leurs proches. Ce geste a été rapporté par nos confrères de Kawtef.
